NOTRE VISION ET MISSION

FORMER DES ARTISANS DE PAIX, DE JUSTICE ET DE RÉCONCILIATION

Transformation des conflits

Développement du dialogue interreligieux

Transformation des conflits

Développement du dialogue interreligieux

MASTER EN TRANSFORMATION DES CONFLITS

 mastc.uaca@gmail.com

Le Master professionnel

Propose une spécialité professionnelle aux étudiants

Axé sur l’Afrique

Mais ouvert à tout autre continent

Deux année d’études

(120 crédits, ECTS)

Accrédité

Par le Conseildes InstitutionsThéologiques d’AfriqueFrancophone (CITAF)

Soutenance de mémoire

WWW.UACA-FATEAC.ORG

PARCOURS PÉDAGOGIQUE

Le Master professionnel

Propose une spécialité professionnelle aux étudiants

Axé sur l’Afrique

Mais ouvert à tout autre continent

Deux année d’études

(120 crédits, ECTS)

Accrédité

Par le Conseildes InstitutionsThéologiques d’AfriqueFrancophone (CITAF)

Soutenance de mémoire

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INSCRIPTION

Contactez
le mail suivant : mastc.uaca@gmail.com

FRAIS DE SCOLARITÉ

15.000 FCFA, 23 €, ou 25 USD par crédit

FRAIS ANNEXE

Les frais de voyage, d’hébergement et de nourriture sont à la charge de l’étudiant

CONDITIONS D’ADMISSION

Titulaire d’une licence ou del’équivalent
Ouvert à tous

FORMAT HYBRIDE

En distanciel avec des plateformes pédagogiques et des outils numériques
En présentiel : 3 regroupements sur l’ensemble du cycle

PARCOURS PÉDAGOGIQUE

NOS ENSEIGNANTS

PATRICE VAHARD

– Docteur en droit international et en sociologie de la gouvernance

À travers les modules sur les droits humains et le droit international humanitaire, le Masters en Sociologie de Transformation des Conflits (MASTC) équipe l’apprenant à s’approprier les enjeux, principes et normes applicables à une réponse au conflit ancrée sur notre humanisme et ayant pour finalité la valeur et la dignité humaines.

PATRICE VAHARD

– Docteur en droit international et en sociologie de la gouvernance

À travers les modules sur les droits humains et le droit international humanitaire, le Masters en Sociologie de Transformation des Conflits (MASTC) équipe l’apprenant à s’approprier les enjeux, principes et normes applicables à une réponse au conflit ancrée sur notre humanisme et ayant pour finalité la valeur et la dignité humaines.

RUBIN POHOR

– Sociologue, Professeur des Universités du CAMES
– Théologien, Vice-Président, UACA
– Coordinateur Général du Conseil des Institutions Théologiques en Afrique Francophone (CITAF)

Le Master en Transformation des Conflits (MASTC) sera certainement l’un des programmes d’enseignement universitaire innovant pour développer de fortes capacités de réflexion et de raisonnement en matière de stratégie, de construction de la paix et de d’élaboration d’un ministère de la réconciliation durable intégrant les enjeux sociaux, sociétaux et environnementaux.

FATUMA NGONGO-KILONGO

– Professeur de Théologie, Université Evangélique de l’Afrique

Nous avons besoin de mettre à profit les compétences féminines dans la construction de la paix durable à tous les niveaux pour un monde meilleur à l’exemple d’Abigail (de la Bible), de Kimpa Vita (du royaume du Kongo) et de Mère Teresa (de Calcutta).

FATUMA NGONGO-KILONGO

– Professeur de Théologie, Université Evangélique de l’Afrique

Nous avons besoin de mettre à profit les compétences féminines dans la construction de la paix durable à tous les niveaux pour un monde meilleur à l’exemple d’Abigail (de la Bible), de Kimpa Vita (du royaume du Kongo) et de Mère Teresa (de Calcutta).

NEAL BLOUGH

Professeur émérite, Histoire de l’Eglise FLTE de Vaux-sur Seine

De nombreuses ressources profondes pour la justice, la paix et la réconciliation se trouvent dans l’Ecriture et la théologie chrétienne. Malheureusement, trop souvent ces notions sont décrites et enseignées comme des réalités seulement intérieures ou exclusivement futures. Le monde a besoin d’une
Eglise enracinée dans la paix du Christ, qui brise le mur de la haine entre les peuples.

FIDELE LUMEYA

– Chercheur et Formateur

Avant la découverte des Européens par les Africains, la justice réparatrice a non seulement existé, mais elle a été et est pratiquée par plusieurs clans en Afrique. Elle est connue en RDC sous plusieurs noms comme le « Yedu Yedu », qui signifie « entre nous on se comprend ». Les clans Mbala habitant l’ouest de la RDC pratiquent cette Justice réparatrice à travers les tribunaux communautaires et coutumiers. Elle ne s’exerce pas dans les salles climatisées comme dans les grandes villes de la RDC, mais souvent dans les villages sous l’arbre à Palabre.

FIDELE LUMEYA

– Chercheur et Formateur

Avant la découverte des Européens par les Africains, la justice réparatrice a non seulement existé, mais elle a été et est pratiquée par plusieurs clans en Afrique. Elle est connue en RDC sous plusieurs noms comme le « Yedu Yedu », qui signifie « entre nous on se comprend ». Les clans Mbala habitant l’ouest de la RDC pratiquent cette Justice réparatrice à travers les tribunaux communautaires et coutumiers. Elle ne s’exerce pas dans les salles climatisées comme dans les grandes villes de la RDC, mais souvent dans les villages sous l’arbre à Palabre.

FOHLE LYGUNDA Li-M

– Professeur de Missiologie, Africa Center for Interdisciplinary Studies

Selon le cas, l’Eglise du Christ est appelée à faire de sorte que le conflit soit prévenu (s’il n’est pas encore là), résolu (s’il est déjà là), et transformé (s’il venait d’avoir lieu). L’Eglise deviendra ainsi le sel de la terre (pour prévenir de la pourriture, pour guérir de la pourriture, et pour protéger contre la pourriture), même dans un contexte de pluralisme religieux.

ABEL NGARSOULEDÉ

– Professeur de Théologie Systématique, FATES

L’importance de la médiation, concept pluridisciplinaire, dans les sociétés contemporaines s’explique par la permanence des conflits marqués par la violence sous ses formes variées et la récurrence des crises
des plusieurs ordres, des querelles suivies les divisions et le rejet mutuel.

ABEL NGARSOULEDÉ

– Professeur de Théologie Systématique, FATES

L’importance de la médiation, concept pluridisciplinaire, dans les sociétés contemporaines s’explique par la permanence des conflits marqués par la violence sous ses formes variées et la récurrence des crises
des plusieurs ordres, des querelles suivies les divisions et le rejet mutuel.

AUGUSTIN AHOGA

– Laboratoire interdisciplinaire des réalités endogènes de l’Afrique

L’extrémisme religieux se développe, parce que les religions du livre véhiculent une approche de compétition et de destruction de la culture africaine et des religions africaines. Traditionnellement, les
Africains s’associent et se mettent ensemble. Dans mon pays, le Bénin, des extrémistes nigériens ont demandé aux musulmans béninois pourquoi ils n’étaient pas agressifs. Les musulmans ont répondu : «Ici, nous partageons la même culture. Nous sommes de la même ethnie. Dans notre tradition, on ne sépare pas en fonction de la religion. C’est contre la tradition. C’est contre l’ancestralité. Voilà pourquoi il n’y a pas d’extrémisme religieux au Bénin.

MARTINE AUDÉOUD

– Associate Academic Dean Bakke Graduate University

Christ nous a appelés au ministère de la réconciliation (2 Cor. 5:18). Ce ministère s’exerce en contexte sur des bases bibliques. Ce master vous donnera d’être mieux équipés pour exercer ce ministère de la réconciliation dans votre contexte spécifique tout en l’ancrant dans les cadres proposés dans la Parole de Dieu.

MARTINE AUDÉOUD

– Associate Academic Dean Bakke Graduate University

Christ nous a appelés au ministère de la réconciliation (2 Cor. 5:18). Ce ministère s’exerce en contexte sur des bases bibliques. Ce master vous donnera d’être mieux équipés pour exercer ce ministère de la réconciliation dans votre contexte spécifique tout en l’ancrant dans les cadres proposés dans la Parole de Dieu.

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